samedi 17 février 2007

Semaine 3: La pratique du génie

Le contenu de la semaine 3 est beaucoup plus près de la réalité quotidienne de la plupart des ingénieurs et traite des techniques de gestion de projets. D'inombrables références existent dans le domaine, mais les techniques présentées dans le Guide de pratique professionnelle de l'Ordre des ingénieurs se démarque selon moi par son pragmatisme.

La section 3 se lit rapidement et présente le contexte dans lequel s'inscrit le Guide de pratique professionnel. La majeure partie de la section consiste en une étude de cas portant sur un projet. Ce cas permet d'identifier de très nombreuses sous-étapes aux quatre phases de gestion d'un projet, soit l'analyse, la conception, la réalisation et l'exploitation.

Le premier réseau de concepts résume le l'introduction du chapitre.

Le second schéma, sous forme d'organigramme, peut être utilisé comme liste de vérification lors du démarrage d'un projet. Au delà des outils informatiques (autant les dominants que ses alternatives), ce genre de liste peut aider lorsque qu'on lance un projet. Il s'agit moins d'une liste de tâches que d'une liste de thèmes ou d'éléments à ne pas oublier.

Évidemment, le Guide de pratique professionnel doit normalement (sa lecture ira dans une semaine subséquente) donner beaucoup plus d'information sur chacune des étapes de la gestion de projets.

dimanche 11 février 2007

Semaine 2: L'ordre des ingénieurs du Québec

La semaine 2 est plus costaude que la première. En fait, c'est probablement la lecture la plus volumineuse, selon le plan de travail. Le contenu également est assez technique.

Les objectifs (en particulier la protection du public), les valeurs et autres préoccupations de l'Ordre des ingénieurs (regroupés dans le haut du schéma résumé) sont supportés par une structure dont les pouvoirs sont assumés par le Bureau (qui les délègue au Comité administratif) et exécutés par le Secrétariat. Le réseau de concepts suivant résume l'ensemble des interactions entres les différentes constituantes de l'ordre.



Deux éléments importants du résumé demandent d'être étudiés de plus prêt, soit les mécanismes d'admission à la profession et les mesures de contrôles.

Les mécanismes d'admission constituent le contrôle à l'entrée. Il faut absolument être membre de l'ordre pour exercer la profession d'ingénieur, et le membership implique plusieurs conditions, en plus d'être diplomé d'un programme reconnu. Ces conditions sont résumées dans le second réseau de concepts.


Finalement, les mesures de contrôles sont mises en place pour assurer que les ingénieurs aient une pratique acceptable et conforme à l'objectif de protection du public. Elles visent également à éviter que des non-ingénieurs commettent des infractions aux lois qui les empêchent d'utiliser à tord le titre d'ingénieur ou d'effectuer des actes réservés.

Semaine 1: Les grands acteurs

La première section du chapitre 1 présente une introduction aux différents mécanismes d'encadrement légal de la profession d'ingénieur, du rôle du gouvernement à ceux des ordres professionnels (à titre réservé ou d'exercice exclusif), en passant par l'implication de l'Office des professions et du Conseil interprofessionnel.

Le principe à la base de la création du système professionnel québécois est la protection du public, qui doit être instauré par l'autorégulation, l'évaluation par les pairs et la surveillance par des organismes externes.

Retenons que l'OIQ est un ordre d'exercice exclusif, ce qui implique que ses membres on le monopole non seulement de l'utilisation du titre, mais de l'exécution de certaines tâches.

Ce module étant relativement simple et se limite à expliquer le système, j'en ai fait un résumé qui se limite à rappeler les notions importantes (pratiquement la table des matières, en fait). Voici un aperçu du résumé.

Le schéma original comporte en annotation des détails pour chacun des symboles. Il est disponible, en format Inspiration, sur demande.